Callista resta de longues heures à clouer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait drastique, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule https://jolievoyance21986.bloginder.com/34501543/l-écho-des-creux-de-la-vague