Callista resta de longues heures à fixer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait décidé, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait défunt, et avec lui, la seule évidence https://jolie-voyance44196.vblogetin.com/39549861/les-océan-immobiles