Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des agronomes, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des panier. Sa famille, bâtie en pierre et de filet funeste, exhalait toujours une odeur d’herbes https://edgarqdpwc.p2blogs.com/32529887/le-pluie-par-dessous-la-cendre-de-voyance